Veneny arriva, comme à son habitude, en habits déchirés et dans un froid de canard devant l'imposante grille de Kervegon. Il ne sentait plus ses doigts bouger, mais il parvint à sortir la lettre rédigé par Angekenn lui demandant de se rendre en ce lieu. Voyant une silhouette bouger et mort de froid, il hurla de son air méprisant :
Pour l'amour de Dieu, que l'on m'ouvre cette porte si vous souhaitez que je vive encore un peu ! Je suis Veneny, et j'ai été réclamé par le Comte dans sa compagnie !
Il attendit une réponse, dans le froid, marmonnant des choses incompréhensible.